à la Semaine de la Solidarité internationale du 13 au 21 novembre 2010,
en partenariat avec le collectif Boischaut Sud.
Dans le cadre de la Campagne AlimenTerre et du festival du Film AlimenTerre ,
les élèves ont vu un film de 2009 sur la mise en concurrence des agricultures du monde et les résultats qui en découlent :
« Comment comprendre que la majorité des personnes qui sont censées nourrir l’humanité, souffrent d’une situation catastrophique, marquée par le chômage, la pauvreté, l’exode et la faim ? »
Plus d’un milliard d’affamés dans le monde.
Dans tous les grands colloques internationaux, une question se pose à présent : « qui va nourrir le monde ? ». Et si la question était mal posée ?
En partant du quotidien des agriculteurs belges, le film conduit une enquête rythmée où les paroles d’experts font écho à des petits schémas explicatifs très réussis. Ce tour du monde agricole et alimentaire identifie des problèmes communs en Europe, en Afrique ou au Brésil.
On prend conscience que tout est lié et que chacun a son rôle à jouer…
« Je mange donc je suis » tente de démontrer qu’un projet de société solidaire, durable et démocratique est plus que nécessaire.
Pourquoi souffre-t-on encore de la faim en 2010 ?
De quoi dépend le niveau de revenu du paysan belge ou burkinabè ?
Comment permettre à tous les Etats d’assurer une alimentation suffisante à leurs populations ?
et a mené à une réflexion sur la notion de souveraineté alimentaire.
c’est le droit des populations de choisir leur agriculture et leur alimentation
sans que celles-ci ne portent préjudice aux droits des autres peuples.
Ce droit est revendiqué par des milliers de mouvements sociaux à travers la planète.
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