Lycée George-Sand La Châtre

que vous nous avez offerte, à nous, mais surtout à l’absent auquel nous pensions tous avec émotion, votre professeur, Monsieur Léry.

Jeudi 24 mai, dans la salle polyvalente, nous avons écouté avec un plaisir mêlé de tristesse le florilège de poèmes et chansons sur le thème du temps qui passe et emporte sans retour jeunesse et amours, réunis par Monsieur Léry et Marie Poumarat, comédienne de Textes & Rêves et La Caravane des Poètes, avec qui vous avez travaillé :

 Extrait de Lamartine Le lac /Aragon Je chante pour passer le temps /Aragon  Que serais-je sans toi ? / Apollinaire Per te praesentit aruspex /Verlaine Colloque sentimental / Brel  La chanson des vieux amants /Verlaine  C’est l’extase langoureuse / Florian Plaisir d’amour /Musset  J’ai dit à mon coeur / Marceline Desbordes-Valmore Ma chambre /Léo Ferré  Avec le temps / Ronsard Quand vous serez bien vieille /Baudelaire A une passante/ François Villon  Ballade à sa mie / Ronsard Ode à Cassandre /Corneille  Stances à Marquise / Brassens Marquise /Obaldia  Dites dites / Piaf Rien de rien /Baudelaire  Une charogne / Du Bellay  Si notre vie / Brel Les vieux /Création de Chloé Alzheimer /Rutebeuf - Ferré  Pauvre Rutebeuf / Obaldia  Le col du fémur /Queneau  Les mouches / Du Bellay Heureux qui comme Ulysse /Ronsard  L’alouette / Baudelaire L’horloge /Obaldia Froid dans le dos /Ronsard  Sonnet / Queneau  Si tu t’imagines

dans le cadre de l’opération financée par le Conseil régional,  Aux arts, lycéens et apprentis ! 

« D’un prieuré à l’Autre / Ruines et pérennité »

Quelques instants précieux de cet après-midi émouvant capturés en photos :

Julie Autissier et Patrice Dehent de La Caravane des Poètes ont chanté a capella des chansons de Brel, Ferré, Piaf.

Marie Poumarat, Patrice Dehent et Julie Autissier se sont joints aux jeunes pour dire certains textes.

"Si tu t’imagines, fillette

xa va xa va xa va durer toujours la saison des za la saison des za saison des amours ce que tu te goures fillette fillette" (Queneau)
La "fillette" insoucieuse du temps qui s’enfuit était représentée par une poupée à laquelle les jeunes filles adressent leur avertissement ironique.