Lycée George-Sand La Châtre

Un spectacle surprenant et original (Aminthe)

Magie de voyages virtuels

Visions abstraites : sur le sol, les reflets d’une eau qui n’existe pas ; au fond de la scène, des mondes en trois dimensions. (Noémie)

La danseuse s’élance dans un parcours à travers le territoire de l’eau. (Elina)

Le jongleur et la danseuse voguent sur une fleur asiatique. (Marion)

Ils glissent sur l’eau comme des enfants qui s’amusent à laisser des traces dans la neige. (Cécile)

La danseuse souffle, et des ricochets se propagent à la surface d’un lac virtuel. (Pierre A.)

Le jongleur et la danseuse courent sur place face à un écran, et nous avons l’illusion qu’un tunnel infini et mouvant s’ouvre devant nous. (Romain)

Le jongleur et la danseuse nous entraînent dans une grotte magique, décor numérique en mouvement. (Charles et Clément)

Derrière l’écran, ils jouent avec les étoiles, dans l’espace intersidéral. (Benjamin)

Maîtrise des jeux

Le jongleur, tout en jouant avec la danseuse, maîtrise un cristal qui voyage sur son corps. (Léa)

La boule de cristal semble suspendue en l’air entre les bras de la danseuse enlacée par le jongleur. (Clara)

Illusions surprenantes (Mathieu)

Le jongleur et la danseuse jouent avec leurs torches, baguettes magiques : des lettres tourbillonnent qu’ils maîtrisent pour créer formes et textes surprenants. (Pierre D.)

La lumière des lampes torches attire les lettres comme l’aimant attire le fer. (Mathieu)

Ballet de lettres qui voltigent autour du jongleur et de la danseuse, et soudain des mots se forment : onomatopées, crac, boum, plouf, chplatch…(Thibault)

Une conception graphique perturbante

La danseuse se lance à corps perdu dans une danse frénétique pour fuir les ombres au sol. (Sandra)

Le jongleur et la danseuse sautent de plate-forme en plate-forme pour ensuite disparaître, comme s’ils tombaient, dans l’obscurité de l’écran. (Pauline)