Lycée George-Sand La Châtre

a écrit Alexandre sur le forum de l’article « Les poètes articulent et gesticulent ! »

Après les rencontres étonnantes avec trois poètes, Julien Blaine, Jacques Demarcq et Cécile Richard, nos lycéens, d’abord déconcertés, perplexes ou même "perturbés" selon le mot d’Agnès Verrier dans son article du 17 mai dans la NR, mûrissent leur réflexion et prennent conscience qu’ils ont eu la chance de découvrir, grâce à ces artistes, d’autres expressions poétiques que celles dont ils sont familiers.

Pour lire l’intégralité de l’article d’Agnès Verrier sur le site de la N.R. : cliquez sur le lien en italiques.

« Perturbations poétiques au lycée George-Sand »

Alors qu’ils se rendaient comme chaque jour au self, les lycéens ont été détournés de leur chemin par une bande de poètes. [...] Julien Blaine vocifère devant des lycéens déconcertés et donne le ton à cet évènement non annoncé. Cécile Richard enchaîne avec une performance au sol, imperturbable au milieu de cette cohue qui se bouscule avant le déjeuner. Elle écrit avec « ses doigts par terre (... ) comme un petit enfant [...] dans la boue ».

Cécile Richard a réalisé une performance d’exception. - (dr)

Photo et légende : Agnès Verrier

Jacques Demarcq poursuit de façon plus classique par une lecture non moins troublante. A sa façon il traduit le chant des oiseaux « tsouhue ! vire d’ici/tutuit-pfou prituititt/stupide fauve primitive ». [...] Après le déjeuner, un groupe de lycéens parle encore de ces performances inattendues : « On ne savait pas qu’on pouvait appeler ça de la poésie et surtout ça fait drôle de voir ça au lycée. Ça nous a surpris, c’est vrai. Mais en fait, il faut juste savoir l’accueillir ! »

Un article dans L’Echo du Berry de cette semaine souligne aussi la surprise des lycéens face aux performances des poètes :

« Impromptus poétiques au lycée »

Extrait : « Surprenant, dérangeant, original... l’initiative n’aura en tout cas pas laissé indifférent et peut-être éveillé quelques consciences artistiques. »

Lire l’intégralité de l’article dans L’Echo du Berry numéro 2980 du 19 au 25 mai.