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Publié : 19 septembre 2011
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" Un service de restauration flambant neuf "

Dans L’Echo- La Marseillaise du samedi 17 septembre, un article fort spirituel de Denis Bonnet, intitulé

L’étourneau cajolé, les coqs peuvent chanter !

est consacré à la traditionnelle visite des élus municipaux dans nos établissements scolaires, au début de l’année.

"Comme cela se déroule peu après chaque rentrée scolaire, une visite municipale de courtoisie a conduit Nicolas Forissier, député et maire de La Châtre, Serge Descout, vice-président du Conseil général et adjoint au maire, Monique Palat, adjointe en charge de la jeunesse et des sports, ainsi que les conseillers Bernard Moissinac et Bernard Giraud, rejoints par Patricia Vilchès Pardo, au collège, puis au lycée, porteurs du même nom de George Sand, jeudi matin."

Au collège, la visite a permis d’apprécier

"comment l’architecte Coutant-Oliviero a profité de l’espace laissé libre par les locaux désaffectés de l’ancien bureau de poste pour y créer une entrée avenante et lumineuse, un foyer et une salle de réunion. "

Mais également de réfléchir à " Un problème aigu, après l’éloignement récent de pigeons trop nombreux, [qui] est l’abondance d’étourneaux. Ceux-ci, juchés sur quatre hauts platanes, salissent la cour de leurs déjections, ce qui provoque une odeur très désagréable.[...] Affaire à suivre..."

La deuxième partie de l’article de Denis Bonnet est consacrée aux "coqs" du Lycée.

"Au lycée, c’est du côté de la cantine que les coqs (les cuisiniers) peuvent maintenant chanter leur joie de pouvoir utiliser un matériel performant installé au cours de l’été : le service de restauration, y compris une chambre froide, est flambant neuf et cela se remarque au premier coup d’œil. Le montant de la facture, tempéré par le Conseil régional, dépassera 1,5 millions d’euros.

Mme Isabelle Fernandes, proviseur, a néanmoins exprimé son inquiétude face à une légère baisse d’un effectif qui compte quelque 500 élèves éduqués par une cinquantaine de professeurs, encadrés en outre par une vingtaine d’agents.

Pour y remédier en partie, il conviendrait de faire davantage savoir que ce lycée est l’un des rares à proposer un enseignement en matière de lutherie, axé sur les instruments de musique traditionnels, et y créer une formation aboutissant à un diplôme reconnu, ce qui n’est pas le cas. Ce qui implique d’engager dans cette voie des élèves déjà bien expérimentés dans le travail du bois, le certificat d’aptitude professionnel exigé étant jugé insuffisant.

L’ouverture d’une classe d’histoire-géographie, dont les cours seraient dispensés en langue anglaise, est aussi espérée. A signaler que le lycée demeure une structure familiale et que la culture y circule ou y parvient sous diverses formes grâce à des partenariats multiples."