Commençons par le ukulele construit Geoffrey, et qui a été son "ticket d’entrée" à l’école de Newark : ce qui a séduit Geoffrey dans cette mini guitare polynésienne à quatre cordes, c’est le contraste entre petite taille et volume sonore, et le côté pratique d’un instrument de poche qu’on peut emporter partout, et dont on peut même jouer en voiture dans les embouteillages !
Et de fait, improviser un festival folk à soi-tout seul dans sa twingo, en grattant sereinement un uku lorsqu’on est coincé à un rond-point à l’heure de sortie des bureaux, c’est quand même autrement plus original que de tripoter l’écran d’un téléphone portable !
Quant au nyckelharpa ( dont Clémentine est spécialiste ) , on ressent tout d’abord une sorte d’effarement devant la complexité de l’instrument : cordes frottées, cordes-bourdons, et cordes sympathiques, archet, et clavier de cinquante touches... on dirait un hybride génial de vielle et de violon, un gaffophone de la Renaissance revu et corrigé par Léonard de Vinci.
Cette apparence déconcertante contraste avec la beauté céleste du son : les douze cordes sympathiques assurent un sustain incroyable à la mélodie.
Le groupe suédois de folk-rock Nordman fait amplement usage du nyckelharpa
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Dernière mise à jour : lundi 24 janvier 2022